Les 10 règles de la vie, selon un professeur bouddhiste japonais

Article repris dans son intégralité et sans modification du site nospensees.fr

Miyamoto Mushashi était un célèbre guerrier samouraï durant l’époque féodale du Japon. Il est l’auteur d’une œuvre très connue nommée Le livre des cinq Anneaux. Il est également très connu pour avoir écrit une liste des règles de la vie deux semaines avant de mourir.

En tant que bon guerrier oriental, pour Miyamoto la lutte était bien plus qu’un combat. Les samouraïs donnaient une valeur très importante à l’évolution personnelle. Cette dernière était précisément le moyen de se convertir en bons combattants. Les règles de la vie de Miyamoto ont survécu au passage du temps, comme cela se produit pour les classiques. Dans ces règles est rassemblée toute la sagesse de quelqu’un ayant vécu avec valeur et en fonction de causes nobles. Nous avons synthétisé ces préceptes en dix lignes directrices que nous partagerons ci-dessous.
1. Acceptation, la première des règles de la vie
La première des règles de la vie est d’accepter la vie en soi, telle et comme elle est. L’acceptation ne signifie pas la résignation mais l’humilité. La vie est ce qu’elle est ; et de chacun de nous dépend une attitude : celle d’apprendre des circonstances que nous n’avons pas choisies, mais avec lesquelles nous devons coexister.

La conception de la non-acceptation de la réalité est la souffrance permanente. Celle-ci donne origine à une bataille intérieure qui est systématiquement perdue. Accepter, en revanche, permet d’apprendre de chaque situation.
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Les armes dans les arts martiaux

Dernière mise à jour le 14 février 2022

Décret n° 2013-700 du 30 juillet 2013 portant application de la loi n° 2012-304 du 6 mars 2012 relative à l’établissement d’un contrôle des armes moderne, simplifié et préventif, paru eu JORF n°0178 du 2 août 2013 page 13194 – texte n°17

Article issu du site service-public.fr rubrique Particuliers/Vos droits

Les armes sont classées en 4 catégories en fonction de leur dangerosité : arme à feu de poing (revolver, pistolet) pour le tir sportif, arme à feu d’épaule (fusil, carabine) pour la chasse… Les règles d’achat, de port, de transport, de détention de l’arme varient selon la catégorie A, B, C ou D. La catégorie A est interdite sauf dérogation. La catégorie B est soumise à autorisation. La catégorie C est soumise à déclaration. La catégorie D peut être achetée et détenue librement.

Arme à feu et matériel de guerre de catégorie A : interdiction sauf dérogation
Arme de catégorie B (soumise à autorisation)
Arme de catégorie C (soumise à déclaration)
Arme de catégorie D (acquisition et détention libres)

Les armes utilisées dans les arts martiaux sont des armes de catégorie D

Armes de catégorie D
L’acquisition et le détention d’armes de catégories D sont libres

Vous devez être majeur pour acquérir une arme de catégorie D (y compris ses éléments et munitions).
Concernant un mineur (moins de 18 ans), il doit avoir l’autorisation d’une personne exerçant l’autorité parentale non inscrite au FNIADA (Fichier National des Interdits d’Acquisition et de Détention d’Armes) et répondre à d’autres critères : âge, arme…

Armes concernées :

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Sugino Senseï

Maître Sugino Yoshio et le Katori Shintô Ryu

Maître Sugino naquit au sein d’une famille paysanne le 12 décembre 1904 (37ème année de l’aire Meïji) à Naruto, petit village fermier face à l’Ile de Kugukurihama, dans la province de Chiba.

En 1916, il débuta la pratique des arts martiaux par le kendo, comme beaucoup de garçons japonais à cette époque. Son professeur était Shingaï Saneatsu Senseï.

Parallèlement, il débutait le Judo avec Iizuka Kunisaburo Senseï qui, quelques années plus tard le recommanda au Kodokan Dojo, dirigé par Kano Jigoro Senseï. Sugino Senseï y pratiqua de nombreuses années, et c’est là qu’il fit connaissance de Mochizuki Minoru.

En 1927, il ouvrait un dojo d’entraînement au Judo Kodokan dans la ville de Kawasaki où il habitait alors.

 

En 1928 il obtint le grade de 4ème DAN de Judo, puis cessait alors la compétition. Cette même année Kano Jigoro Senseï avait invité, dans le cadre de la section Kobudo-kenkyu-kaï qu’il avait créée, quatre maîtres de Katori Shintô Ryu à venir enseigner leur Art. A cette époque au Kodokan, la compétition prenait de plus en plus d’importance et Maître Sugino ne trouvait plus en lui a force et la foi des premières années. Son enthousiasme pour le Judo passa peu à peu pour le Katori shintô ryu. Il choisit donc de s’adonner à la voie du sabre avec Shiina Senseï.

 

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